Nous relayons ici l’expression Sud-Re dans l’instance F3SCT nationale de l’INRAE ce 8 novembre 2024. Elle relate l’historique de l’enlisement de ce douloureux dossier prions infectieux à l’échelon de notre EPST et cible le conflit d’intérêt doublé d’un déni de responsabilité qui perdure depuis 5 années.
A ce stade nous attendons que l’information mise en ligne au creux de l’été sur le site institutionnel soit complétée pour être accessible et utilisée par toutes les personnes ayant travaillé ou travaillant sur les prions. Nous attendons aussi une réponse aux questions posées, notamment sur la mise en oeuvre du passeport médical post-exposition, la concrétisation de l’avis sur la conduite à tenir en cas d’accident, afin de lever la méfiance qui persiste au sein des équipes.
A défaut nous réutiliserons notre devoir d’alerte vis à vis du Comité d’Ethique (CCNE)